Paix sociale fragile à ArcelorMittal Florange
Moselle - Investissements - Sidérurgie - Social - Management
En décembre 2012, ArcelorMittal signait avec l’Etat français un accord qui actait la fermeture des hauts-fourneaux et 629 suppressions de poste à Florange, mais garantissait des reclassements sans licenciement ni mobilité forcée. Le sidérurgiste a respecté ses engagements, mais les effectifs du site mosellan continuent de baisser.
En décembre 2012, la colère et les larmes et d’Edouard Martin, alors délégué CFDT d’ArcelorMittal, à l’annonce de la fermeture des hauts-fourneaux de Florange, ont marqué les esprits.