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Archives par mots-clés: Enim


Pierre Chevrier, directeur de l’Enim

« Il faut  passer d’une sécurité d’obligation à une sécurité de conviction »

Metz - Grandes écoles - Industrie - Ressources humaines - Management

Directeur de l’Ecole nationale d’ingénieurs de Metz (Enim), Pierre Chevrier a intitulé le projet stratégique de son établissement : « révéler l’homme dans l’ingénieur ». Composante de l’Université de Lorraine, l’Enim s’est associée à la création de la chaire Behaviour, qui met la réalité virtuelle à contribution pour travailler sur la prise de conscience des conséquences des actions et décisions.
« Il faut passer d’une sécurité d’obligation à une sécurité de conviction », Pierre Chevrier.
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François Grosdidier, maire de Metz, président de Metz Métropole

« Je souhaite que d’avantage de Messins travaillent au Luxembourg »

Luxembourg - Sarre - Metz - Université

Ancien fonctionnaire territorial, François Grosdidier a obtenu son premier mandat local 1989 en devenant conseiller municipal de Metz à l’âge de 28 ans.

Successivement vice-président du conseil régional de Lorraine (de 1992 à 2004), député de la Moselle (de 1993 à 1997, puis de 2002 à 2011), maire de Woippy (de 2001 à 2017), conseiller général (en 2011), puis élu sénateur de la Moselle en 2011, il est depuis cet été maire de Metz et président de Metz Métropole.

Le nouvel édile livre à Correspondances son approche de la coopération transfrontalière.

Vous situez-vous dans la continuité de votre prédécesseur Dominique Gros dans vos relations avec le Luxembourg ?

Je me situe en rupture, car je ne considère pas que le Luxembourg nous porte un préjudice qui demanderait réparation. Je ne suis pas dans ce type de rapports, alors même que le Luxembourg assure des revenus à 100.000 Mosellans dont 5.000 Messins et 7.000 métropolitains. Sans ces emplois, nous serions moins prospères ou en plus grande difficulté.

Je souhaite que d’avantage de Messins travaillent au Luxembourg. Nous conservons un taux de chômage de 10 %, alors que nous disposons de deux marchés de l’emploi. Nous devrions donc avoir l’un des taux de chômage les plus bas du pays. Ma préoccupation est que les travailleurs frontaliers puissent continuer à travailler au Luxembourg tout en vivant à Metz et dans la métropole, ce qui suppose des modes de transport et de locomotion plus fluides.

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La métropole valorise ses atouts high-tech pour séduire ses voisins allemands

Transfrontalier - Metz - Grandes écoles - Laboratoires de recherche - Université lorraine - Industrie

Outre ses atouts géographiques, Metz fait valoir son offre technologique, scientifique et universitaire pour attirer les entreprises allemandes.

Metz est wunderbar ? Proclamé chaque printemps au cours d'une semaine événementielle de plus en plus populaire, le mot d'ordre rencontre un faible écho parmi les entreprises allemandes.

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Diversification économique : Metz se réinvente en métropole de l’Art & Tech

Metz - Projets urbains - Grandes écoles - Laboratoires de recherche - Université lorraine - Numérique | Presse - Tourisme | Culture

Jeune métropole régionale d’un bassin de 500.000 habitants, Metz mise sur l’art et sur la technologie pour sortir de l’ombre, tant à l’échelon national que par-delà les frontières, surtout les plus proches.

Au 1er janvier prochain, Metz entrera de plain-pied dans le club des 22 métropoles françaises et compte bien le faire savoir.

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Metz – l’Enim réhabilitée

Metz - Bâtiment - Grandes écoles - Université lorraine

Désaffectés depuis trois ans, les anciens locaux de l’Ecole nationale des ingénieurs de Metz abriteront à la rentrée 2016 l’Institut des sciences de l’homme et de la société (ISHS) sur l’île du Saulcy.

La requalification du bâtiment qui comporte 5 niveaux de 1 000 m2 mobilise 13 millions d’euros HT sous maîtrise d’ouvrage de l’Université de Lorraine.

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Pierre Chevrier, directeur del’ENIM

La dynamique de la métamorphose

Metz - TechnopôlesInfo - Grandes écoles - Industrie

Pur produit de l’École Nationale d’Ingénieurs de Metz, Pierre Chevrier assiste depuis deux décennies à la métamorphose de son école et à l’ouverture de Metz-Technopôle sur le monde.

En 1994, il fallait du mérite aux futurs ingénieurs en mécanique et matériaux – surnommés les Meuh-Meuh, ou bêtes à concours – pour affirmer leur goût des sciences et de la recherche. Pierre Chevrier se souvient avoir dû sécher quelques cours de l’école d’ingénieurs pour pouvoir mener à bien son DEA, puis sa thèse de doctorat sur le comportement dynamique des matériaux.

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