A Sarrebruck, les « salles de shoot » aident les toxicomanes dans une ambiance pacifiée
Sarre - Santé
Pionnier de l’accompagnement des toxicomanes, le Droguenhilfezentrum de Sarrebruck a ouvert ses premières « chambres à shooter » en 1999. Interdite aux non-Sarrois depuis 2005, la structure a affiné son dispositif pour améliorer la sécurité sanitaire des usagers et préserver une cohabitation sereine avec les habitants du quartier.
Le Drogenhilfezentrum (DHZ) de Sarrebruck signale sa présence dès le début de la rue des Brasseurs (Breuerstrasse) par les prostituées attendant le client pour se payer leur dose.